Toi le fou
Aigri d’amertume je me noie dans la brume et fume ce cigare gris qui embellie l’air impure d’origine bien moins pire que cette cuba qui dort au fond d’un port haut placé perché au pied d’un arbre surplombent la vallée morte qui longe les cieux espacé par d’oiseau perdu retournant leurs tête et crête et dort dans l’eau des bateaux bleus passant inaperçu dans l’eau rouge saignant vos peaux trouées tiré par balle croulant sous nos pied je vois d’ici le feu qui ronge les cotes du coeur qui te respire et t’aime de toutes ces fumées noire mélangeant le temps les lieux les phrase perdant la fin les point et les transition on imagine malgré l'absence on ce veut malgré le non dit de croire en ces chose qui n’existe que pour nous redonner l’envie de redire des mots par des lettres dites et redites a un temps plus éloigné que le notre perdue au début retrouvé jamais je continue la route ronde vertigineuse ensemé de roue de char de bâton qui nous bloc et nous force à dévié ce haut mur descendant bas au centre d’un point non fixé tu te perd je gagne mais je te perd et tu gagne je te suis ou qui sui-je le droit à gauche ne mène pas à droite ainsi que le haut ne mélange pas le bas mais sans eux je suis plus que ce point non fixé dont tout part de nul part d'ailleurs que d’ici et non plus de phrase ces sens à l’envers de tes yeux rond qui suivent ce chemin vertigineux de nul sens et de nul pense ou tout coûte la vie d’un être qui ne vit que pour ne vivre que ces pense et ces pensée qui nuise a la vie des vivres et des autre pense qui pense que tu est fou ou rien n’est concret ou rient n’est dit mais tout l’est donc reste que le dit du non dit qu’il fait vivre comme un rêve le fou qui le lit.
Queymon Mcloughlin
Queymon Mcloughlin