La Promesse
Belle demoiselle que tout homme s’arrache
Tu attires les regards à chaque rire
Dévorant t-à perfection unique que tu nous cache
Ton jeu d’élégance ne me tue pas, il fait bien pire.
Tu ne cesses de jouée avec leur désires
Leur donnant vaticination de t’appartenir
Moi dans tout çà, je souffre le martyre
Malgré les promesses de ne jamais me trahir
Depuis peu un homme vous fait la cour
- Ô belle et somptueuse dame
- Prenez ces fleurs et devenez ma femme
Face à ce prince valeureux je me sent, lourd.
D’un menton levé vous ramassez ces roses
Vous lui assurez un regard bien morose
- Mon chère, mes yeux ne brillent que d’une étoile
Puis vous me fixez longuement telle une toile
Queymon Mcloughlin
Tu attires les regards à chaque rire
Dévorant t-à perfection unique que tu nous cache
Ton jeu d’élégance ne me tue pas, il fait bien pire.
Tu ne cesses de jouée avec leur désires
Leur donnant vaticination de t’appartenir
Moi dans tout çà, je souffre le martyre
Malgré les promesses de ne jamais me trahir
Depuis peu un homme vous fait la cour
- Ô belle et somptueuse dame
- Prenez ces fleurs et devenez ma femme
Face à ce prince valeureux je me sent, lourd.
D’un menton levé vous ramassez ces roses
Vous lui assurez un regard bien morose
- Mon chère, mes yeux ne brillent que d’une étoile
Puis vous me fixez longuement telle une toile
Queymon Mcloughlin